Les micro-organismes du Bactériosol® et du Bactériolit® produisent, dans un premier temps, de l'humus à partir des éléments organiques et minéraux du sol ou des matières organiques (fumiers, lisiers, déchets verts,...) où ils sont placés, explique Marcel Mezy, concepteur de ces produits. « Cette étape permet de fixer ces éléments pour diminuer au maximum les pertes par lessivage et par évaporation, ce qui réduit aussi les risques de pollution des eaux et de l'air, tout en augmentant le potentiel fertilisant des matières ensemencées. »
« Dans un second temps, lorsqu'une plante se développe dans un milieu ensemencé au Bactériosol®, sa croissance crée une demande racinaire en éléments fertilisants qui stimule les micro-organismes rhizosphériques », poursuit-il. « Ces derniers puisent dans la "réserve" constituée par les premiers et nourrissent la plante qui développe tout son potentiel car elle n'est carencée en aucun élément nutritif et ses produits sont de première qualité notamment sur les plans nutritifs et organoleptiques. »
Avantage de cette technique : elle permet de réduire fortement voire totalement les apports en fertilisants azotés, affirme Marcel Mezy. Et de préciser qu’il est indispensable de supprimer les fertilisations P et K. Elle permettrait aussi de réduire les amendements minéraux, ce qui constitue un second atout pour l'environnement. De plus elle est autorisée en agrobiologie.
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