C’est ce qu’indique Jean-Pierre Quillien dans un article d’Atout porc Bretagne pour expliquer comment le raclage sous caillebotis est devenu une spécialité québécoise. Les exigences sur le plan thermique sont moindres (sous un climat rigoureux) sur caillebotis partiels par rapport au caillebotis intégral et le coût est plus faible avec une part de sol plein.
Le matériel fréquemment utilisé aujourd’hui est composé d’un racleur en inox large de 1,83 à 2,44 m. Câble, poulies et bloc de transmission complètent le système qui s’installe sur un fond de fosse lisse et plan.
Des éleveurs ont indiqué racler leurs fosses une fois par jour ou tous les deux jours, pour limiter l’usure du câble et obtenir «des déjections en fond de fosse plus humides et plus faciles à racler».
Pour plus de détails, l’article de Jean-Pierre Quillien intitulé «Raclage sous caillebotis: une spécialité québécoise peut être actuellement lu en intégralité sur le site d’Atout Porc Bretagne.
A lire au format PDF, en cliquant ICI.
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?