En hiver, l'éleveur souffre plus que la truie dans sa cabane, dès lors que celle ci est convenablement paillée. En fait, ce que les animaux craignent le plus, c'est l'humidité.
Mais vous pouvez atténuer les inconvénients de l'hiver en le préparant dès maintenant. Coté animaux, la réduction de l'ouverture des cabanes sera appréciée : elles seront plus chaudes, plus douillettes tant pour la truie que pour ses porcelets.
Pour limiter vos trajets, vous pouvez prépositionner une réserve de paille sur la parcelle. Le jour ou vous en aurez besoin, le chemin sera peut être moins praticable. De ce fait, il vaut mieux profiter d'un temps sec, ce qui évitera la création d'ornières.
La question de l'abreuvement se pose dès que le gel devient suffisamment intense. Si vous avez équipé le terrain de canalisations, il faut éviter qu'elles ne gèlent, ce qui induirait des dégâts.
En cas d'impossibilité à les protéger en totalité, laissez couler un filet d'eau, ce qui est d'autant plus important que le froid prévu est intense.
Si l'approvisionnement en eau se fait au moyen d'une citerne, augmentez le nombre de vos passages en fonction du temps que mettent vos abreuvoirs à geler. Surveillez tout particulièrement l'abreuvement de vos truies en lactation : une pénurie d'eau se traduira immédiatement par une moindre production de lait, au détriment des porcelets.
Coté sol, c'est à cette saison que vous vérifiez l'intérêt d'installer vos cabanes sur une parcelle filtrante et portante.
Quelle que soit la nature de votre sol, évitez de creuser des ornières trop importantes. En cas de besoin, songez à daller le passage des roues, afin de limiter leur impact au sol. Et n'hésitez pas à augmenter la portance en utilisant pneus larges et roues jumelées.
Dernier point : ne calculez pas votre temps de travail de façon trop juste. En hiver, l'abreuvement, la distribution de nourriture, et le paillage peuvent prendre beaucoup plus de temps que lors des jours plus cléments.
Pour limiter vos trajets, vous pouvez prépositionner une réserve de paille sur la parcelle. Le jour ou vous en aurez besoin, le chemin sera peut être moins praticable. De ce fait, il vaut mieux profiter d'un temps sec, ce qui évitera la création d'ornières.
La question de l'abreuvement se pose dès que le gel devient suffisamment intense. Si vous avez équipé le terrain de canalisations, il faut éviter qu'elles ne gèlent, ce qui induirait des dégâts.
En cas d'impossibilité à les protéger en totalité, laissez couler un filet d'eau, ce qui est d'autant plus important que le froid prévu est intense.
Si l'approvisionnement en eau se fait au moyen d'une citerne, augmentez le nombre de vos passages en fonction du temps que mettent vos abreuvoirs à geler. Surveillez tout particulièrement l'abreuvement de vos truies en lactation : une pénurie d'eau se traduira immédiatement par une moindre production de lait, au détriment des porcelets.
Coté sol, c'est à cette saison que vous vérifiez l'intérêt d'installer vos cabanes sur une parcelle filtrante et portante.
Quelle que soit la nature de votre sol, évitez de creuser des ornières trop importantes. En cas de besoin, songez à daller le passage des roues, afin de limiter leur impact au sol. Et n'hésitez pas à augmenter la portance en utilisant pneus larges et roues jumelées.
Dernier point : ne calculez pas votre temps de travail de façon trop juste. En hiver, l'abreuvement, la distribution de nourriture, et le paillage peuvent prendre beaucoup plus de temps que lors des jours plus cléments.
Retrouvez les palmarès des concours bovins du Space 2025
Dans le Cotentin, « nous vivons avec 30 vaches et 30 hectares chacun »
Logettes ou aire paillée ? Comment sont logées les vaches laitières françaises
Madison sacrée grande championne Holstein sur le ring du Space 2025
Logiciel, lactosérum, pailleuse… 4 inventions d’éleveurs primées au Space
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
Comment préparer une vache à la césarienne
Face à une perte de compétitivité inédite, accompagner davantage les agriculteurs
Le Grand Ouest met la main à la poche pour la recapitalisation bovine