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Moins de souci de trésorerie quand l'entretien devient une charge fixe
Publié le 02/07/2018
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En planifiant la maintenance et le volume de consommables en salle de traite, DeLaval propose un règlement mensuel, trimestriel ou annuel, stable sur quatre années.
P our limiter les pannes liées à un entretien irrégulier, DeLaval lance le nouveau contrat InServiceä All-inclusive pour les éleveurs équipés de salles ou robot de traite. Il permet de planifier les interventions de façon préventive sur quatre ans, et par conséquent de lisser les dépenses. Celles-ci peuvent dorénavant passer de la colonne des charges variables à celle des charges fixes de l’exploitation laitière ; y compris les frais liés aux détergents, produits d’hygiène et autres consommables si cette option est choisie. Cette charge annuelle, fixe pendant quatre ans, peut ensuite être facturée et réglée de différentes manières selon les préférences de l’éleveur : facturation mensuelle, trimestrielle ou annuelle (format papier et/ou dématérialisé), règlement par virement ou par prélèvement automatique. Tout est possible en fonction des facilités proposées par chaque concessionnaire. Au bout de quatre ans, un bilan est réalisé et un nouveau contrat de quatre années est mis en place avec d’éventuels ajustements. Le niveau de facturation du service est alors adapté si nécessaire.
« Pas plus cher ! »
Selon Jean-Marc Archier, gérant de la concession Isère élevage à Brézins, l’arrivée de ce nouveau contrat est bien adaptée à la nouvelle génération d’éleveurs. « Aujourd’hui, les entreprises veulent des frais fixes, observe-t-il. Elles calent le rythme de facturation, mensuel ou trimestriel, sur leur rythme de déclaration de TVA. Et elles ne sont pas opposées au prélèvement automatique car elles fonctionnent désormais ainsi avec la plupart de leurs fournisseurs. »
Pour proposer le contrat InServiceä All-inclusive à ses clients, Isère élevage ressort les factures des deux dernières années. « Quand on leur indique un coût par mois, ils trouvent ça élevé, mais en fait, aucun éleveur ne sait ce que lui coûte réellement sa salle de traite ! En réalité, ce n’est pas plus cher que ce qu’ils paient déjà. » Concessionnaire depuis 2003, Jean-Marc Archier estime que cette approche préventive améliore l’entretien des machines. « Avant nous étions des dépanneurs. Aujourd’hui, on prévient les risques. Nous travaillons tous plus sereinement ainsi. Avec l’agrandissement des troupeaux, les éleveurs ne veulent plus subir les imprévus et les coûts élevés des dépannages en urgence. »
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Cette communication est gérée par la régie publicitaire du groupe NGPA. La rédaction de Web-agri n’a pas été consultée et n’a pas participé à sa réalisation.