Dans son nouveau contrat InService? All-inclusive, DeLaval lisse les coûts d’entretien de la salle de traite sur quatre années pour faciliter la gestion de l’exploitation.
A
u-delà de l’avantage technique de gérer de manière préventive l’entretien de sa salle de traite, DeLaval met aussi en avant dans son nouveau contrat InServiceä All-inclusive l’atout de la visibilité en termes de dépenses pour l’éleveur. « Sur un cycle de quatre ans, il faut en général prévoir de l’entretien la première année, davantage la deuxième année avec des pièces à changer au bout de 4000 heures d’utilisation en moyenne, puis à nouveau un peu d’entretien la troisième année et plus encore la quatrième année, déclare Clément Fisseau, animateur des ventes dans le Sud-Est. Avec le contrat InServiceä All-inclusive, les coûts sont estimés puis lissés sur quatre ans, afin de faciliter la gestion des charges. »
Indicateurs d’aide à la décision
Grâce à cette visibilité sur quatre ans, l’éleveur maîtrise son budget d’entretien global consacré à la salle de traite car il peut l’ajuster plus facilement. La mise en place du contrat débute donc par une réflexion entre l’éleveur et le technicien de la concession pour coller au mieux aux préconisations du constructeur. A partir d’une première estimation, on peut faire évoluer les termes du contrat, à la hausse ou à la baisse. Afin d’aider l’éleveur dans ses choix, le coût « tout compris » du service est ventilé en familles de produits : pièces à remplacer, produits d’hygiène, produits d’entretien, autres consommables (tuyaux, manchons, filtres). La discussion se fait aussi sur la base d’indicateurs calculés par le logiciel : coût par poste, coût par animal, coût à la tonne de lait, ou encore coût mensuel. « Il existe des marges de manœuvre, concède Clément Fisseau. Certaines interventions pourront par exemple être reportées sur la cinquième année. Les services optionnels comme les produits d’hygiène, les détergents et les consommables, pourront être adaptés en niveau de gamme. »