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En bref... Environnement Un modèle en test pour faciliter les plans d’épandage collectifs

La Bretagne est souvent montrée du doigt en matière d’excédent de production de fertilisants organiques, en raison notamment de la concentration de la production animale. Mais la production s’organise pour solutionner ces excédents et rationnaliser les transferts des effluents.

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Jean-Marie Paillat
(© C.Zambujo)

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Le transfert des effluents vers des zones déficitaires en azote s’avère intéressant, en particulier pour les exploitations de petite taille qui ne peuvent faire du traitement individuel. « Pour se conformer à cette réglementation, un groupe d’éleveurs du Sud-Est de l’Ille et Vilaine a élaboré un plan d’épandage collectif de lisier de porc » détaillait Jean-Marie Paillat (Inra) lors des 41e journées de la recherche porcine qui se déroulaient à Paris.

Pour en savoir plus lire aussi 
Environnement - Un modèle en test pour faciliter les plans d’épandage collectifs avec le témoignage de Jean-Marie Paillat (Inra).


insi, 104 des 187 cantons de Bretagne sont déclarés en zone d’excédent structurel. Dans ces derniers, les élevages produisant plus de 12.500 à 20.000 kg d’azote par an doivent proposer un plan de résorption en traitant l’azote excédentaire ou en l’exportant.

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