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Intégrer une analyse électro-géobiologique dans un projet photovoltaïque

Christophe Labasse, conseiller robot et électro-géobiologue au sein du service Egeo de Seenovia, est en intervention à la ferme de Yohann Brochard, éleveur laitier dans les Mauges (49).

Dans son exploitation située à Beaupréau-en-Mauges, en Maine-et-Loire, Yohann Brochard fait actuellement construire un bâtiment photovoltaïque pour entreposer son fourrage. Il a demandé l’intervention d’un géobiologiste.

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Afin d’éviter tous désagréments pour les animaux, Yohann Brochard a demandé à Christophe Labasse, conseiller robot et électro-géobiologue au sein du service Egeo de Seenovia, d’étudier le positionnement le moins risqué pour les onduleurs et le câble de production électrique. En effet, lors de la production d’électricité, ces équipements génèrent des champs électromagnétiques préjudiciables pour le troupeau.

L’expert a tout d’abord évalué la résistance de la terre électrique de l’exploitation, puis a recherché les courants parasites présents dans les bâtiments ou les équipements. Cette étude poussée a permis d’identifier un courant parasite dans le robot, issu de la pompe à vide et associé à une résistance trop importante de la terre électrique. À la suite de ce constat, l’expert en électro-géobiologie a formellement déconseillé à l’éleveur d’opter pour un positionnement du câble en travers du bâtiment. Au risque d’aggraver la situation et de perturber les passages du robot. Ensemble, ils ont ensuite évalué les zones de l’exploitation les plus appropriées pour l’installation de ce réseau, tout en intégrant l’impact économique d’une plus grande longueur de câble.

https://dai.ly/ktTsMK9C1FgQv9Ce0hA

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