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Ode à la longévité au concours National Montbéliard

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Au pays berceau de la mont­béliarde, le Doubs qui vit chaque week-end d’automne au rythme d’un comice, il ne pouvait avoir que foule pour le National, à Besançon. Et cela d’autant plus qu’on y fêtait le 130e anniversaire de la reconnaissance officielle de la race.

Une fois n’est pas coutume, le concours a débuté par le meilleur. La catégorie senior, forte de 6 sections et 46 animaux, a ouvert le bal… un choix somme toute logique pour une race dont le gros intérêt est sa longévité. Ces effectifs, ramenés aux 242 vaches en lice, rappellent la proportion – de l’ordre de 20 % – de montbéliardes à cinq lactations et plus dans les troupeaux au contrôle laitier. Dans cette catégorie, comme dans celles des adultes et des jeunes, le large choix a pu combler le juge, fervent défenseur d’une montbéliarde moderne. Comprenez­, une laitière avec « de la caisse », solide, pourvue d’un dessus tendu, d’avant-main large, et dotée de mamelles très bien attachées sans volume.

Jean-Michel Vocoret

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