EPI. Des gants et des chaussures plus techniques
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« Sensibilisés à la question des produits phytosanitaires, les exploitants agricoles se dotent plus qu’avant d’équipements de protection individuelle, ou EPI, souligne un conseiller de la MSA. L’amélioration des systèmes d’incorporation sur les pulvérisateurs et les nouvelles formulations de produits vont également dans le bon sens. » À l’atelier, les actions de sensibilisation portent aussi leur fruit, puisque la majorité des agriculteurs déclarent posséder des lunettes ou des gants de protection de travail. Même si dans les faits, ils ne sont pas toujours adaptés ou parfois en mauvais état. « Les fabricants ont réalisé beaucoup d’efforts pour proposer des équipements plus confortables et convenant aux différentes tâches, explique David Beck, de Sécurama. Pour les gants par exemple, l’idéal est d’utiliser plusieurs paires en même temps et de les laisser là où ils servent le plus souvent : des gants de manutention assez résistants et qui protègent du froid dans le télescopique et les tracteurs ; des gants de mécanicien en nitrile, un matériau souple et étanche aux hydrocarbures pour l’atelier et les travaux de précision. Pour les chaussures, c’est la même philosophie. Mieux vaut en avoir plusieurs paires selon la saison et les travaux. Même les casquettes évoluent, puisque certaines sont coquées et protègent la tête. D’autres possèdent de petites ampoules intégrées dans la visière, comme une lampe frontale. »
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