PRODUITS INDUSTRIELS Pas d'inquiétude à priori jusqu'à fin mars, tout est possible au-delà
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Fin 2009, les cours des produits industriels se tenaient toujours à un niveau élevé. Cela permet aux éleveurs français de bénéficier d'une hausse du prix du lait à partir de janvier. D'après les experts, on peut rester optimiste sur le marché des produits industriels pour les trois premiers mois de 2010. En effet, la collecte est en baisse un peu partout dans le monde : Europe, États-Unis, Australie, et le redémarrage de la production néo-zélandaise semble moins vif que les années précédentes. Dans notre modèle actuel d'indicateur pour le prix du lait, cela devrait garantir un prix à la production supérieur à 2009 au moins pour le premier semestre. Au-delà, c'est l'inconnu car il est impossible d'affirmer que la demande mondiale sera durable. Tous les scénarios sont possibles à partir du second trimestre sur l'offre et la demande. En annonçant, plusieurs mois à l'avance, la remise sur le marché d'une partie des stocks publics à partir de mai, la Commission a donné une certaine visibilité aux opérateurs. Cela participe à la stabilité des cours observée depuis la mi-novembre.
COMMENT INTERPRÉTER CES GRAPHIQUES ? La courbe verte correspond à un prix moyen du lait en France. En novembre 2009, l'estimation d'Atla (l'association des transformateurs de lait) l'établit à 261 €/1 000 l. La courbe jaune correspond à la valorisation en beurre et poudre d'un litre de lait collecté. Étant donné la remontée des cours des produits industriels enclenchée en septembre, Atla estime qu'elle est à 260 €/1 000 l. La zone beige ou verte correspond au différentiel entre ces deux prix. Pour le mois de novembre, la valorisation beurre poudres était donc équivalente au prix du lait payé aux producteurs.
COMMENT INTERPRÉTER CES GRAPHIQUES ? La courbe verte correspond à un prix moyen du lait en France. En novembre 2009, l'estimation d'Atla (l'association des transformateurs de lait) l'établit à 261 €/1 000 l. La courbe jaune correspond à la valorisation en beurre et poudre d'un litre de lait collecté. Étant donné la remontée des cours des produits industriels enclenchée en septembre, Atla estime qu'elle est à 260 €/1 000 l. La zone beige ou verte correspond au différentiel entre ces deux prix. Pour le mois de novembre, la valorisation beurre poudres était donc équivalente au prix du lait payé aux producteurs.
COMMENT INTERPRÉTER CES GRAPHIQUES ? La courbe verte correspond à un prix moyen du lait en France. En novembre 2009, l'estimation d'Atla (l'association des transformateurs de lait) l'établit à 261 €/1 000 l. La courbe jaune correspond à la valorisation en beurre et poudre d'un litre de lait collecté. Étant donné la remontée des cours des produits industriels enclenchée en septembre, Atla estime qu'elle est à 260 €/1 000 l. La zone beige ou verte correspond au différentiel entre ces deux prix. Pour le mois de novembre, la valorisation beurre poudres était donc équivalente au prix du lait payé aux producteurs.
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