« Nous devons remplacer ma mère qui s’est blessée »

Le printemps est assez favorable ici. Le maïs démarre bien et nous allons bientôt réaliser la deuxième­ coupe d’herbe. Mais nous avons un nouveau problème. Ma mère a loupé une marche dans la salle de traite et s’est cassé la cheville. D’habitude, elle participe à la traite et soigne les veaux. Et à midi, elle fait à manger pour tout le monde. Ce n’est pas facile de la remplacer. Heureusement, on est assurés contre ce genre de pépins. Ça coûte cher, mais nous sommes bien contents d’avoir pris cette option. Le tarif dépend des exploitations et l’élevage laitier est considéré comme à risque élevé. L’assurance nous a donné des conseils d’aménagements pour le réduire. Un remplaçant va venir travailler avec nous 50 heures par semaine. Ça devrait aller pour les veaux et la traite. Mais c’est plus compliqué pour les repas !