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Fusion d’Amélis, Génoé et Urcéo Le nouveau nom de l’union de coopératives d’IA est…

"Evolution", c’est le nom donné à la fusion des trois coopératives d’insémination multi-espèces du Grand ouest : Amélis, Urcéo/Créavia et Génoé.

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Cliquez pour voir les interviews de Jean-Pierre Mourocq et Thierry Simon, président et directeur d’Evolution.

Lancée en grande pompe ce jeudi, place des Lices à Rennes, la nouvelle union de coopératives se nomme Evolution, un nom "darwinien" qui résonnera dans les oreilles de la génétique mondiale. Avec 33.000 éleveurs adhérents et 1.050 salariés, la fusion des entreprises de mise en place Amélis, Urcéo et Généo, devient ainsi le premier groupe du secteur en France et le sixième au niveau mondial.

Evolution en chiffres :

  • 128 millions d’euros de chiffre d’affaires
  • 40 % de l’activité d’insémination bovine en France
  • 4.900.000 doses bovines vendues par an en France et à l’étranger
  • 15.000 génisses commercialisées, dont 50 % vendues à l’export
  • 540.000 doses porcines vendues (15 % du marché français)
  • 38.000 IA caprines vendues par Capgènes
  • 1.008.000 doses de lapins vendus par Eurolap (filiale d’Urcéo)
« Face aux entreprises du secteur privé, il est primordial de laisser la propriété de la génétique animale aux mains des éleveurs adhérents », a tenu à rappeler le nouveau président Jean-Pierre Mourocq, éleveur laitier dans le Finistère et ex-président d’Urcéo puis Créavia.

L’objectif de cette fusion est de « construire, réussir et développer dans le Grand ouest un groupe acteur majeur qui soit référence mondial sur le marché de la génétique et des biotechnologies d’élevage multi-espèces », annonce Vincent Rétif, ancien président de Génoé.

Pour Jacques Coquelin, président d’Amélis, « ce projet s’inscrit avec un territoire, des hommes et une histoire ». En effet, le territoire d’Evolution s’étend désormais sur 16 départements allant du Finistère jusqu’au Loir-et-Cher.

« J’ai la certitude qu’avec ce regroupement nous avons plus de devoirs qu’auparavant », assure Thierry Simon, nommé directeur général d’Evolution. « Ces devoirs, nous les assumerons par une politique de la main tendue, un accompagnement des races et une humilité et une proximité renforcées, y compris dans les territoires où l’élevage est moins dense. »


Le bureau d’Evolution de gauche à droite : Jacques Coquelin (ex-Amélis), président adjoint,
Jean-Pierre Mourocq (ex-Créavia), président et Vincent Rétif (ex-Génoé), président adjoint.
(© Terre-net Média)

 


Ancien président d’Urcéo et Créavia, Jean-Pierre Mourocq prend la présidence
du groupe Evolution. (© Terre-net Média)

 


Jacques Coquelin et Thierry Simon, directeur d’Evolution. (© Terre-net Média)


Gilles Delaporte, directeur général adjoint, a rappelé les différents métiers du groupe qui
ne cessent de croitre avec l’arrivée de la semence sexée, le génomique ou le monitoring
de la santé et de la reproduction.  (© Terre-net Média)


Jean-Marc Pinsault, directeur général adjoint a présenté les moyens de production
du groupe coopératif, qui comprend quatre taurelleries, deux stations de donneuses,
trois sites porcins, deux équins, un caprin et un cunicole. (© Terre-net Média)


Evolution compte aujourd’hui 75 administrateurs
(© Terre-net Média)
Evolution : Qu'en pensent les forumeurs de Web-agri ?

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