Contractualisation interfilière Christophe Terrain (Agpm) : « Les éleveurs ont du mal à s’engager vers des contrats pluriannuels d’approvisionnement en alimentation animale »
A l’heure où le marché du maïs surfe sur un trend élevé, Christophe Terrain, président de l’Agpm, rappelle l’intérêt d’une contractualisation interfilière pour les producteurs de maïs. Mais, selon lui, « il est difficile de trouver des éleveurs prêts à s’engager sur plusieurs années ». Il appelle les structures coopératives à jouer pleinement leur rôle d’intermédiaire.
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Selon le président de l'Agpm (association générale des producteurs de maïs), une contractualisation sur trois ans avec les filières animales sur une petite partie de leur production, « 10 % par exemple », est un bon moyen pour les maïsiculteurs, de sécuriser leur revenu et de profiter des opportunités du marché quand les prix sont bons sur le reste de leur récolte.
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