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Bail environnemental Antoine de Boismenu inaugure la formule
Après s'être installé en Gaec avec son frère sur une exploitation d'élevage située à Valcivières, dans le Puy-de-Dôme (63), Antoine de Boismenu, ancien directeur de la fédération nationale des Safer, a signé le 12 juillet, le premier bail environnemental. Rendu possible depuis janvier 2006 grâce à la dernière loi d'orientation agricole, ce type de bail intègre un certain nombre de conditions environnementales définies entre le propriétaire et l'agriculteur preneur des terres.
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Ce premier bail environnemental concerne plus de 7 ha de terres appartenant au Conservatoire des espaces et paysages d'Auvergne et comporte 9 prescriptions environnementales spécifiques (maintien des surfaces en herbe, interdiction d'apports en fertilisants, interdiction du draînage, etc.)
En signant ce bail d'une durée de 9 ans, Antoine de Boismenu estime d'abord gagner en visibilité par rapport à une convention d'occupation précaire. Il espère également tirer profit de cet engagement notamment en termes de valorisation de sa production : la fourme fermière, fromage issu de lait de vache Abondance.
Les conservatoires d'espaces naturels, qui sont propriétaires de plus de 500 sites en France, espèrent, de leur côté, que ce bail sera “le premier d'une longue série”.
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En signant ce bail d'une durée de 9 ans, Antoine de Boismenu estime d'abord gagner en visibilité par rapport à une convention d'occupation précaire. Il espère également tirer profit de cet engagement notamment en termes de valorisation de sa production : la fourme fermière, fromage issu de lait de vache Abondance.
Les conservatoires d'espaces naturels, qui sont propriétaires de plus de 500 sites en France, espèrent, de leur côté, que ce bail sera “le premier d'une longue série”.
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