Bruno Massart élève 180 vaches et leur suite à Soignies en Belgique. En modifiant sa stratégie d'alimentation (notamment fourragère), il est parvenu à diminuer la consommation de concentrés du troupeau tout en maintenant sa production. Il témoigne dans une vidéo réalisée dans le cadre du projet Protecow.
Dans les Côtes d'Armor, l'Earl du Bois au Bé est dirigée par Adeline qui élève 90 mères Limousines. L'éleveuse témoigne de son parcours et ses motivations pour le métier dans une vidéo dédiée.
Avec un reportage chaque semaine au minimum, vous avez visité un paquet d'élevages sur Web-agri en 2020 ! Retour sur ceux qui vous ont le plus marqués sur l'année.
Passionné de génétique depuis ses 12 ans, Pascal Lévêque remporte cette année le prix de meilleur éleveur au concours Vache de l'année organisé par Prim'holstein France. Un titre de plus pour cet élevage qui mise pourtant sur la simplicité, et ce après avoir gravi la première marche du classement top lait brut 2020.
Installés dans les Côtes d'Armor, Franck et Maud Le Breton ont fait le choix d'orienter leur élevage vers le tout herbe et les vêlages groupés de printemps. Du produit en moins certes avec la réduction de la production mais des charges qui ont également fondu et surtout : du temps libre pour les éleveurs. Ils témoignent dans une vidéo réalisée par le Cedapa 22.
Nous vous l'annoncions en fin de semaine dernière : la très connue « ferme des 1 000 vaches » cessera sa production laitière au 1er janvier 2021. Et cette info ne vous a pas laissés indifférents. Que vous soyez pour ou contre le projet, vous avez été nombreux à réagir. Voici une petite compilation de quelques extraits de commentaires.
Avec 16 hectares de mélange céréales/protéagineux et 120 ha de prairies comprenant des légumineuses, les associés du Gaec Les Rivages dans le sud de l'Anjou ont les ressources suffisantes pour réaliser la finition d'une cinquantaine de bovins tout au long de l'année, sans achat de correcteur azoté.
Vincent Dechaux en Haute-Marne (52) et Jérome Laval en Isère (38) sont tous les deux éleveurs laitiers. Ils ne se connaissent pas mais ont plusieurs points communs, notamment leur conduite d'un système fourrager performant. L'un misant sur l'herbe et l'autre sur le sorgho, ils témoignent de leurs pratiques.
Vous le savez : sur Web-agri, vous avez la parole. Aussi, n'hésitez pas à nous solliciter pour témoigner. Nous vous invitons également à choisir les prochaines thématiques qui seront traitées sur le site.
Après une quinzaine d'années de travail avec ses chiens, Dominique Goyon ne reviendrai pas en arrière. Pour l'éleveur bovin du Cantal, ils lui permettent d'assurer seul les manipulations, notamment au pâturage. L'éleveur a aussi voulu aller plus loin dans sa relation avec son troupeau en suivant une formation lui permettant de mieux comprendre le comportement de ses animaux.
Si la crise sanitaire actuelle affecte de nombreux commerces et corps de métier, le confinement n'est pas synonyme de pertes pour tout le monde. Lancée depuis deux ans dans la transformation du lait produit sur l'exploitation de son conjoint en Normandie, Stéphanie Rivet a vu son activité se développer de façon exponentielle depuis le premier confinement.
De juillet à décembre, c'est la période calme pour Ronan Guernion qui a fait le choix des vêlages groupés de printemps et de la monotraite. Cet éleveur laitier de Bretagne a même réussi à prendre un mois de vacances. Il revient sur les grands moments de son année et nous livre quelques éléments chiffrés de son bilan.
Bien qu'il essaie d'être le plus présent possible auprès de ses vaches pour les habituer à sa présence et les manipuler dans le calme, Olivier Lavancier en est certain : c'est le chien qui lui assure une certaine sérénité dans le travail. L'éleveur laitier témoigne de son parcours et des formations qu'il a suivies pour aller plus loin, mieux comprendre son troupeau et ainsi travailler en sécurité avec son chien.
Ce sont bien souvent des hommes qui témoignent mais les femmes aussi ont toute leur place dans les exploitations agricoles. Retrouvez à l'occasion de la journée internationale de la femme rurale une série de portraits de femmes du milieu agricole.
Avez-vous déjà vu de l'affouragement en vert avec du maïs fourrage ? C'est ce que teste cette année Matthieu Opsomer, éleveur de la Somme. Ayant semé un maïs en dérobé derrière l'orge, l'éleveur préfère le récolter quotidiennement au taarup pour le distribuer en vert à ses génisses plutôt que d'ensiler quelque chose de très humide pour le remettre sur son silo principal. Il nous partage son expérience.