À la veille d'un nouveau confinement, le ministre de l'agriculture a participé, à distance, au congrès de Jeunes agriculteurs, rappelant à ces derniers leur importance en matière de souveraineté alimentaire française, à court comme à long terme. Une souveraineté alimentaire à renforcer en réduisant un certain nombre de dépendances à travers des axes d'action qui concordent avec les priorités de JA, a-t-il détaillé.
En amont du congrès électif qui se tiendra du 27 au 29 octobre à la Baule, en Loire-Atlantique, Jeunes agriculteurs a rappelé les priorités du mandat passé et de celui à venir, notamment la formation, l'accompagnement et la promotion du métier pour favoriser le renouvellement des générations, thème du rapport d'orientation 2020 du syndicat.
Le congrès de l'AGPB, initialement prévu en juin, se tiendra finalement le 2 septembre compte tenu du contexte actuel, a annoncé l'association.
Si le congrès du syndicat agricole majoritaire a été reporté à l'année prochaine pour cause de coronavirus, l'élection du nouveau bureau doit selon les statuts se tenir cette année : une assemblée générale statutaire aura lieu en juin, pour une élection du bureau le 1er juillet.
Habituellement tenu pendant la première semaine de juin, le congrès de Jeunes agriculteurs aura cette année lieu fin octobre à la Baule, en raison de la crise sanitaire.
Bien que les producteurs de lait travaillent depuis de nombreuses années sur les leviers de valorisation de la production, et que la loi Égalim commence à produire des effets, la visibilité économique reste faible sur les exploitations. Il s'agit pourtant d'un élément de sérénité indispensable pour développer davantage les axes sociétaux, favoriser le renouvellement des générations et assurer la présence d'élevages laitiers au modèle durable sur tout le territoire.
En crise depuis plusieurs années, le secteur de la viande bovine française peut pourtant bénéficier d'un certain nombre d'opportunités sur le marché. Encore faut-il être en capacité d'aller chercher de la valeur pour les producteurs. Pour la FNB, réunie en congrès le 6 février, l'organisation collective en OP et en AOP apparaît comme l'un des moyens les plus rapides pour y parvenir.
Chercheurs, experts, mais aussi utilisateurs de la recherche (enseignants, conseillers de développement, entreprises, agriculteurs...) : pour cette deuxième édition, Phloème a permis de réunir 600 congressistes les 29 et 30 janvier derniers à la Cité des sciences de Paris. Les objectifs : « partager les connaissances et favoriser l'émergence de solutions innovantes afin d'améliorer la multi-performance des systèmes céréaliers ».
Après une campagne assez difficile pour les producteurs de pommes de terre, notamment en fécule, l'UNPT a réfléchi lors de son congrès, le 28 janvier, aux modèles de production qui permettront à la pomme de terre française de tirer encore son épingle du jeu demain. Pour réduire les coûts de production, les regroupements entre producteurs pourraient se développer de plus en plus.
Avec la libéralisation des marchés, la volatilité des prix, la fin des quotas laitiers et sucriers, les coopératives agricoles ont été confrontées ces dernières années à de nouveaux défis. Au-delà du travail sur le renforcement de l'efficacité économique, de la gouvernance, ou de l'accompagnement des adhérents, elles doivent également mettre en avant leurs atouts pour séduire les nouvelles générations d'agriculteurs.
Au congrès de Jeunes agriculteurs, qui se clôturait jeudi 6 juin à Roanne, dans la Loire, Didier Guillaume a garanti au syndicat que l'Etat rallongerait les enveloppes financières pour l'accompagnement de toutes les installations aidées, au-delà du calibre budgétaire de 6 000 installations.
Environ 800 jeunes agriculteurs sont réunis pour le congrès annuel du syndicat, du 4 au 6 juin à Roanne, dans la Loire. En choisissant la « ruralité » comme thème de leur traditionnel rapport d'orientation, JA entend faire des propositions qui dépassent largement les questions purement agricoles, notamment en matière d'engagement citoyen des jeunes ruraux.
Pour leur prochain congrès, qui se tiendra à Roanne, dans la Loire, du 4 au 6 juin prochains, les jeunes agriculteurs ont choisi de consacrer leur rapport d'orientation sur « la jeunesse et la ruralité ». Si, en choisissant ce thème en septembre 2018, les représentants nationaux de JA ne s'attendaient pas à ce qu'il trouve une légitimité renforcée par le mouvement des gilets jaunes entrepris en novembre, la thématique fait écho aux quelques signaux qu'Emmanuel Macron a donnés à la jeunesse agricole depuis le début de son mandat.
Réunis en congrès à Bagnoles-de-l'Orne, en Normandie, les éleveurs de l'OPL, la branche laitière de la Coordination rurale, s'inquiètent de la démographie du secteur. Pour Véronique Le Floc'h, présidente du syndicat, il ne s'agit plus de produire coûte que coûte « pour satisfaire les industriels », mais « d'obtenir des prix rémunérateurs que les États généraux avaient promis, sans succès ». « Il y va du modèle laitier familial français. »
La FNSEA tenait son 75e congrès à Nancy, en Meurthe-et-Moselle, du mardi 26 au jeudi 28 mars 2019. Face au feuilleton du Brexit, « qui a pris le dessus sur les vrais enjeux européens », différents acteurs économiques et politiques ont appelé les agriculteurs - et les citoyens en général - au sursaut européen. Devant le ministre de l'agriculture, Christiane Lambert a pointé du doigt les « incohérences » et « doubles discours », notamment en matière d'irrigation, de baisse des charges et, plus globalement, de distorsions de concurrence.