15Juin
2000
Rendez-vous2000-06-15
Tels seront les points forts du circuit "lait" proposé lors des journées portes ouvertes de la ferme expérimentale des Trinottières, les 20 et 21 juin à Montreuil-sur-Loir (Maine-et-Loire).
24Mai
2000
Contamination2000-05-24
La Commission européenne a beau être rassurante, la nouvelle affaire de la dioxine dans des aliments pour animaux en Belgique va sans doute encore faire des dégâts dans les esprits du grand public.
Ensilage, enrubannage, foin : dois-je utiliser un conservateur ? Lequel ? Réponses de Gérard Corrot de l'Institut de l'élevage, témoignages d'éleveurs et liste de tous les conservateurs homologués.
Six questions à Gérard Corrot, ingénieur à l'Institut de l'élevage, chargé de la récolte et de la conservation des fourrages.
Commercialisé par Keenan France sous la dénomination "Sodagrain" pour l'alimentation des animaux, ce procédé avait été plusieurs fois mis en cause l'an passé.
Une bonne utilisation de
l'herbe à des répercussions importantes sur les résultats économiques des exploitations
laitières. L'herbe jeune (feuillue) a une valeur alimentaire au kilo de matière
sèche équivalente à celle d'un aliment concentré de type VL 2,2L. Par ces qualités,
elle permet d'assurer des niveaux de production élevés et constitue l'aliment
le plus économique pour la vache laitière.
Une bonne exploitation du
pâturage pendant la période de pousse n'est possible que si la mise à l'herbe
s'effectue de bonne heure.
Quel que soit le système choisi, il faut sortir tôt, dès que la hauteur d'herbe
atteint 10 cm et que les sols portent, ce qui permet :
- de favoriser le tallage,
- de ne pas être dépassé
par l'herbe de forte pousse,
- de ménager de longues
transitions alimentaires.
De nombreuses vaches laitières sont actuellement en début
de lactation. Les niveaux de production (et donc les besoins alimentaires) ayant
tendance à augmenter, on peut être tenté de distribuer des quantités de
concentrés très (trop ?) importantes. Or, la vache reste un animal ruminant et
la ration de base mise à sa disposition doit impérativement permettre
d'assurer cette fonction.
« La subcarence en sel est, à mon avis, l'une des plus fréquentes en élevage. » Cette affirmation de Bernard Marie Paragon de l'Ecole Vétérinaire de Maison Alfort dans la Revue de l'Elevage méritait d'être approfondie. Voici une synthèse sur la question à partir de données bibliographiques et d'éléments issus du réseau BTPL.