Les logettes gardent une image plutôt négative pour le confort des vaches. Pourtant, bien adaptées et bien dimensionnées, elles assurent un aussi bon confort que la pâture ou l'aire paillée. Quelques rappels sur les dimensions et réglages des logettes.
Le compact feeding répond à un problème majeur : le tri. Cette ration totalement mélangée grâce au hachage et au trempage des aliments semblerait faire grimper les résultats techniques. Attention cependant, elle demande plus de temps et un surcoût à la préparation.
En France, dans les résultats technico-économiques, l'élevage des génisses occupe toujours un poids conséquent. Le coût du renouvellement du troupeau laitier évolue peu et les gains techniques et économiques sont connus. En plus du vêlage précoce, il faut choisir et réduire le nombre de génisses à élever par génération.
Les méteils ont un intérêt dans des rations vaches laitières, tout particulièrement dans les secteurs où le maïs est soumis à un risque sécheresse. Ils assurent le stock fourrager. Mais sont-ils une bonne solution technico-économique ? Calculs et éléments de réponse du BTPL.
Les sécheresses estivales risquent d'être de plus en plus fréquentes et prononcées. Dans un système en croisière en place depuis de nombreuses années, l'équilibre n'est plus toujours assuré. Comment faire pour sécuriser son système fourrager sans dégrader son revenu et ses conditions de travail ?
La phase lactée est une période sensible, l'enjeu est double : assurer une croissance soutenue et éviter les problèmes sanitaires. Les plans d'allaitement pour les veaux sont nombreux : lait entier, lait en poudre, mixte lait-poudre. Comment choisir le bon plan d'allaitement pour mon élevage ?
La balance oscille entre 1 200 et 1 800 ¤, l'écart est conséquent. Mais cette valeur est-elle juste et pertinente ? Combien me coûte réellement une génisse dans mon cheptel ? La bonne question est de savoir combien je peux gagner, dans deux ans, en gardant un lot de petites femelles nées ces derniers jours, soit en les introduisant dans mon troupeau, soit en les vendant.
Si trouver un salarié pour traire et s'occuper du troupeau peut ressembler à un parcours du combattant, comment gagner en souplesse et en confort de vie . La mécanisation et la robotisation sont-elles les bonnes solutions ? Est-ce envisageable économiquement ? Neuf ou d'occasion ? Le BTPL répond à ces questions.
À partir des données 2018 des 850 éleveurs du réseau Écolait, le BTPL a pu analyser les performances économiques des grands troupeaux. Conclusion : ils sont aussi bons que les autres au vu des chiffres.
Tarissement, vêlage, insémination, contrôle de gestation, parage, examen, vaccination, soin, chargement dans une bétaillère... On peut estimer entre 10 et 20 le nombre d'interventions par vache et par lactation qui demandent la manipulation et la contention d'un animal, ce qui représente, pour un troupeau de 100 vaches laitières au moins deux interventions par semaine. Le BTPL fait le point sur les types de contention à prévoir dans la conception d'un bâtiment d'élevage.
Pneus basse pression, pendillards, le matériel d'épandage évolue dans le bon sens mais est-ce encore rentable d'avoir son propre épandeur ou sa propre tonne à lisier ? Pas sûr...
Si le stockage coûte cher, l'épandage des effluents d'élevage peut en revanche rapporter gros. Pour les valoriser au maximum, il faut compter en épandre sur la plus grande surface possible. Et si cela ne suffit pas, il est tout à fait possible d'en vendre une partie ou de l'échanger. Mais dans tous les cas, une bonne utilisation des lisiers et fumiers permettra de réduire les achats extérieurs d'engrais.
4Décembre
2019
Signes de vaches2019-12-04
Être dans ses vaches au quotidien ne suffit pas pour voir les petits détails qui pénalisent le confort, voire même la productivité. Déplacer la barre au garrot des logettes, donner un plus grand accès à l'auge, changer le sens de circulation du bâtiment... De nombreuses améliorations peuvent être faites après avoir observer son troupeau en toute objectivité. C'est ce que propose la formation "Signes de vaches" du BTPL.
Environ 5 % des vaches laitières françaises sont croisées. Si le troupeau croisé peut légèrement perdre en lait, de nombreux avantages se dégagent comme l'amélioration des taux ou encore l'effet hétérosis. Si la pratique est moins répandue chez les éleveurs allaitants, le croisement de races peut pourtant avoir également des effets bénéfiques.
Pour alléger la charge de travail en élevage laitier, la monotraite est une solution envisageable. Avant d'y passer, mieux vaut calculer son coup (ou plutôt son coût) car la baisse de production n'est pas négligeable et la marge s'en ressent. D'ailleurs, le gain de temps n'est pas systématique selon la stratégie choisie...