La circulaire Dgpaat/sdea/c2013-9911 du 20 décembre 2013 expose les conditions d'octroi des mesures de soutien spécifique « aide aux ovins » et « aide aux caprins » en France métropolitaine. En jeu, un soutien de 21 euros par brebis et par chèvre qui peut être majorée de 3 euros sous certaines conditions. Explications...
La Confédération paysanne réagit dans un communiqué aux annonces faites le 17 décembre par Stéphane Le Foll sur la mise en ½uvre de la Pac en France. Elles « sont la preuve de l'importance de la mobilisation de la Confédération paysanne. Pour autant, on ne peut ignorer que la ligne suivie par Stéphane Le Foll est celle de la compétitivité à tout prix » selon le syndicat.
C'est un dysfonctionnement du système informatique du Crédit agricole le 2 décembre dernier qui est à l'origine de cette erreur d'une ampleur sans commune mesure.
Selon Orama, les céréaliers vont subir une baisse des aides à partir de 2015, qui sera source de distorsions par rapport à leurs voisins européens. Le plan de compétitivité souhaité permettra de relancer la production et de contrer les désengagements de Bruxelles et surtout du gouvernement français vis à vis des céréaliers.
Dans un communiqué, le syndicat s'élève contre l'instauration de critères, par le ministère et avec le soutien de la Fnsea, pour réduire le nombre d'agriculteurs bénéficiaires d'aides couplées en production bovine et ovine.
L'arrêté du 19 novembre 2013 du ministère de l'Agriculture paru au Journal officiel, fixe, pour la campagne 2013, le montant unitaire et le coefficient stabilisateur de certains paiements directs.
Avec la mise en application de la Pac 2015, il nous faudra assimiler de nouvelles notions avec de nouveaux sigles évidemment : droit à paiement de base et paiement vert de référence (2014), paiement redistributif, taux de convergence annuel...
Les deux associations spécialisées de la Fnsea déplorent, dans un communiqué, qu'à l'instabilité des marchés se rajoute une surenchère réglementaire avec une anticipation de la mise en ½uvre de la réforme de la Pac.
Seuls 23 % des participants au sondage de Terre-net sont en phase avec les choix du gouvernement de redistribuer les aides en faveur de l'élevage et des moyennes exploitations.
Parmi les éleveurs, une majorité n'est pas en phase avec les annonces faites par le président de la République sur la redistribution des aides Pac. C'est le résultat d'un sondage en ligne sur Web-Agri.
Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt, a obtenu de la Commission européenne l'autorisation de verser de façon anticipée certaines aides de la politique agricole commune (Pac).
Pour 2015, 37,5 % sont opposés à cette majoration lorsque la réforme sera appliquée.
Le président de la République en visite au Sommet de l'Elevage mercredi doit annoncer les grands arbitrages de la Politique agricole commune. Les Fédérations nationales bovine, ovine et caprine s'expriment dans un communiqué commun sur les décisions qu'elles attendent en faveur des filières animales.
Plus de six agriculteurs sur dix ont « entendu parler vaguement » des évolutions de la Politique agricole commune (Pac) souhaitées par Bruxelles.
46 % des agriculteurs ayant pris connaissance des propositions de « réforme de la Pac pour 2014/2020 ne sont pas favorables » au verdissement et à la convergence des aides Pac de la Commission européenne.